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Zoom sur les diagnostics obligatoires

Vous vendez ou louez votre bien immobilier ? Activ'Expertise vous guide ! Le tableau des diagnostics immobiliers vous indique ceux à réaliser avant une vente ou une location et leur durée de validité.

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Isabelle L.

Personne très sympathique et très tres professionnelle. Je recommande

Christine B.

Mr GENTAL très professionnel et compétent, de bons conseils. Très bon contact, personne très respectueuse. Nous sommes entièrement satisfaits de la réalisation du DPE de notre maison. Nous le recommandons vivement.

Mathilde M.

Réponse, devis et prise de rendez-vous rapide. Merci pour votre rapidité et votre professionnalisme !

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À LA UNE
Le rôle des professionnels certifiés dans le repérage de l’amiante
21 novembre 2025

Le rôle des professionnels certifiés dans le repérage de l’amiante

L’amiante dans le patrimoine bâti : un enjeu majeurBien que l’utilisation de l’amiante soit interdite en France depuis 1997, ce matériau reste très fréquemment rencontré dans les bâtiments plus anciens. Sa présence résulte de décennies d’usage, notamment pour ses performances en isolation thermique et sa robustesse dans la construction.Conscient du risque qu’il représente pour la santé, il est crucial de pouvoir repérer efficacement l’amiante dans les différents matériaux et éléments d’un bâtiment. Plusieurs zones sont particulièrement susceptibles d’en contenir : les calorifugeages, les couvertures de toit et les revêtements de sol.Les principaux emplacements concernés par l’amianteIsolation des tuyauteries et calorifugeagesServant à maintenir la température des conduits et équipements de chauffage, les calorifugeages installés avant l’interdiction de l’amiante abritent souvent ce produit sous forme friable. Ils se présentent généralement sous forme de manchons, d’enduits fibreux ou de bandes enveloppant les tuyaux. Leur fragilité les rend particulièrement dangereux : la moindre détérioration libère potentiellement des fibres toxiques dans l’air.Ces installations sont fréquemment recensées dans les chaufferies, caves, locaux techniques, et au sein des réseaux de chauffage collectifs.Toits et façades en fibrocimentLes plaques et matériaux en amiante-ciment ont longtemps été utilisés pour couvrir toitures, façades ou dépendances. Reconnaissables à leur aspect gris, leur surface rugueuse et parfois envahie de mousses, ils contiennent en général de l’amiante non friable, peu dangereux à l’état intact mais risqué dès que la structure est endommagée ou modifiée (perçage, décapage...).Parmi les matériaux concernés, on compte les plaques ondulées de toiture, les appuis de fenêtre, jardinières ou conduits d’évacuation.Dalles de sol et colles amiantéesTrès plébiscités entre 1960 et 1980 pour leur durabilité, les dalles en vinyle-amiante et les colles bitumineuses sous-jacentes sont aussi des sources d’exposition. Visuellement, elles apparaissent sous la forme de carreaux carrés, souvent de couleur marron, beige, noire ou grise.Le danger est particulièrement présent lors des interventions sur le revêtement (ponçage, retrait, perçage), car c’est à ce moment-là que les fibres d’amiante peuvent être dispersées.Le recours indispensable à un professionnel certifiéAvant d’entamer des travaux ou de procéder à une transaction immobilière concernant un bien construit avant juillet 1997, la réalisation d’un diagnostic amiante est imposée par la réglementation. Ce diagnostic, que seul un expert possédant une certification adaptée peut conduire, consiste à identifier la présence éventuelle d’amiante, à juger de l’état des matériaux et à recommander les mesures appropriées telles que la surveillance, la mise en sécurité ou le retrait.Seul un examen approfondi et, si besoin, une analyse en laboratoire permettent de confirmer la nature des composants concernés et d’établir un rapport fiable.Assurer la sécurité, agir en toute conformitéFaire intervenir un diagnostiqueur expérimenté garantit une évaluation exhaustive et conforme aux exigences légales. Ce professionnel apporte aussi des conseils personnalisés pour limiter les risques liés à l’amiante et pour accompagner au mieux chaque étape, que ce soit dans le cadre d’une rénovation, d’une vente ou d’un nettoyage du bâtiment.Pour toute vérification, il est conseillé de contacter une entreprise spécialisée afin d’assurer la sécurité des occupants et des intervenants, tout en respectant la législation en vigueur.

Le Permis de Louer : Qu’est-ce que c’est ?
Publié le 24 Octobre 2025

Le Permis de Louer : Qu’est-ce que c’est ?

Le « permis de louer » est une mesure instaurée par la loi ALUR pour lutter contre l’habitat indigne et améliorer la qualité du parc locatif privé. Il impose aux propriétaires bailleurs d’obtenir une autorisation préalable auprès de la commune avant de mettre leur bien en location dans certaines zones déterminées.Pourquoi ce dispositif ?De nombreux logements proposés à la location ne respectent pas toujours les normes de sécurité, de salubrité ou de décence. Pour répondre à cette problématique, le permis de louer permet aux collectivités locales d’effectuer un contrôle en amont et de protéger les futurs locataires.Concrètement, comment ça fonctionne ?Le propriétaire souhaitant louer un bien immobilier dans une commune concernée doit :Déposer une demande d’autorisation à la mairie avant toute mise en location (ou lors du changement de locataire).Attendre la délivrance de l’autorisation pour pouvoir signer le bail et remettre les clés.En cas de refus, effectuer, le cas échéant, des travaux de mise en conformité exigés par la mairie.En cas de location sans permis ou malgré un refus, le propriétaire s’expose à des sanctions administratives pouvant aller jusqu’à 15 000 € d’amende.Les avantages du permis de louerProtection des locatairesLutte contre les marchands de sommeilValorisation du patrimoine immobilier localLes communes concernées en Auvergne-Rhône-AlpesDans la région Auvergne-Rhône-Alpes, plusieurs communes sont soumises à ce dispositif. Voici la liste extraite du document source :Ain (01)NantuaAllier (03)CussetVichyArdèche (07)TeilTournon sur RhôneDrôme (26)Livron sur DrômeLoriol sur DrômeSaint VallierIsère (38)GrenobleSaint Clair de la TourSaint MarcellinTour du PinVienneVoironLoire (42)Boën sur LignonRégnyRiorgesRoanneSaint Germain LavalPuy de Dôme (63)BillomChâteldonCourpièreMonnerie le MontelPuy GuillaumeThiersRhône (69)Saint Laurent d'AgnySaint PriestSavoie (73)Challes les EauxChambéryAvant toute démarche de location dans l’une de ces villes, il est donc impératif de vous rapprocher de la mairie afin de connaître la procédure exacte d’obtention du permis de louer, ainsi que les éventuels formulaires à remplir.Le permis de louer incarne une démarche de responsabilité et de qualité au service de tous !

Ce que le QR code sur le DPE va changer pour les acquéreurs et locataires
Publié le 24 Septembre 2025

Ce que le QR code sur le DPE va changer pour les acquéreurs et locataires

Vers une transparence accrue dans l'immobilierÀ compter du 1er septembre 2025, une nouveauté fait son entrée dans le domaine du diagnostic de performance énergétique (DPE) : chaque rapport devra impérativement comporter un QR code. Cette initiative vise à limiter les risques de fraude et à garantir une meilleure transparence pour toutes les parties concernées, que ce soit lors d’un achat ou d’une location immobilière.Un contrôle facilité pour tous grâce au QR codeJusqu’à présent, vérifier la véracité d’un DPE imposait aux futurs locataires ou propriétaires de saisir un numéro de treize chiffres, une démarche peu connue et rarement mise en œuvre. Désormais, il suffira de scanner le QR code présent sur le document pour être redirigé vers la base de données officielle de l’Ademe, où tous les diagnostics réalisés en France sont enregistrés. Ce changement rend l’accès à l’information simple et immédiat, et ouvre la voie à une consultation bien plus démocratisée.Un outil au service de la lutte contre la fraudeOn estime qu’en France, chaque année, environ 70 000 diagnostics comportent des irrégularités ou fraudes. De telles dérives nuisent à la crédibilité des acteurs du secteur et mettent en danger la confiance du public. Avec les restrictions qui s’appliquent progressivement aux logements énergivores, notamment sous l’effet de la loi Climat et Résilience, la fiabilité du DPE devient primordiale dans l’évaluation des biens. L’introduction du QR code offre une garantie supplémentaire de sérieux et de fiabilité, réduisant considérablement la possibilité de manipuler ces rapports.Quelles implications pour les professionnels et les particuliers ?Pour les acquéreurs ou locataires, la vérification de l’authenticité d’un DPE n’a jamais été aussi directe et sécurisée.Les propriétaires et agents immobiliers bénéficient d’un encadrement renforcé, ce qui diminue le risque de litiges relatifs à la performance énergétique des biens proposés.Le secteur immobilier gagne en crédibilité grâce à des diagnostics inviolables et à une plus grande transparence dans les transactions.Un nouveau QR code pour certifier les diagnostiqueursÀ l’horizon de l’automne 2025, une nouvelle étape est prévue : l’apparition d’un second QR code sur les diagnostics immobiliers. Ce dernier permettra de s’assurer que les diagnostiqueurs possèdent bien toutes les qualifications requises, renforçant ainsi les critères de qualité et de sécurité des expertises fournies.Une avancée décisive pour la sécurité et la confianceL’ajout du QR code sur le DPE marque une transformation importante pour le marché immobilier français. Cet outil ne se contente pas de lutter contre la fraude, il rassure également tous les intervenants et simplifie chaque étape de la transaction. Les particuliers peuvent aborder leurs démarches immobilières avec une assurance renforcée, pendant que les professionnels disposent de nouveaux arguments pour attester de la fiabilité de leurs services.

La baisse du coefficient du DPE : qui sont les gagnants et les perdants
Publié le 07 Août 2025

La baisse du coefficient du DPE : qui sont les gagnants et les perdants

Un changement important dans le calcul du DPELe gouvernement prévoit d’ajuster le coefficient de conversion de l’électricité utilisé dans le Diagnostic de performance énergétique (DPE). À partir du 1er janvier 2026, ce coefficient passera de 2,3 à 1,9, conformément aux orientations européennes et à l’évolution du mix énergétique national, où les sources renouvelables occupent une place de plus en plus importante.Des répercussions concrètes pour les logements et le secteurSi cette révision semble purement technique, elle transformera sensiblement le classement énergétique de nombreux logements, sans nécessiter de travaux d’amélioration. Ainsi, les habitations chauffées à l’électricité verront leur note s’améliorer de manière automatique. D’après les estimations, près de 850 000 logements quitteront la catégorie des « passoires thermiques » uniquement grâce à ce changement de méthode, sans que leur isolation ou leur système de chauffage ait été modifié.Cependant, ce mouvement suscite des questionnements : d’une part, il existe un risque de concentrer l’approche sur l’électricité, au détriment d’autres solutions vertueuses comme les pompes à chaleur hybrides, les dispositifs à base de biogaz ou encore les réseaux d’eau chaude collective. D’autre part, cette évolution pourrait rendre la compréhension du DPE plus complexe pour les particuliers, car le nouveau calcul ne reflétera plus nécessairement la réalité des factures d’énergie, celles-ci étant basées sur l’énergie finale consommée.Les gagnants et les perdants de cette réformeLes propriétaires de logements chauffés à l’électricité profitent clairement de cette mesure, puisque leur bien sera mieux classé sans investissement supplémentaire.Les locataires des anciens logements classés en « passoires thermiques » pourraient bénéficier d’une amélioration de la qualité perçue de leur logement, même si la consommation réelle n’évolue pas.Du côté des professionnels du bâtiment, notamment ceux qui œuvrent pour des rénovations énergétiques ambitieuses, la modification soulève de vives inquiétudes. Les artisans engagés craignent que les efforts consentis pour améliorer durablement les logements soient moins reconnus, freinant ainsi l’élan vers un parc immobilier moins carboné.Les politiques publiques de décarbonation, portées par la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC), pourraient également pâtir de ce nouveau calcul, car il risque de ralentir les chantiers de rénovation profonde.Appel à la vigilance et à la stabilité des règlesEn modifiant des critères aussi impactants, il est crucial de garantir la clarté et la fiabilité du DPE, à la fois pour les particuliers et les acteurs du secteur immobilier. Une évolution trop rapide ou mal expliquée risquerait de perturber la confiance des ménages et de fragiliser la transition vers un habitat plus respectueux de l’environnement.Pour défendre une rénovation énergétique efficace et équitable, un débat collectif autour de ces évolutions réglementaires s’impose. Cela permettra d’assurer que la transformation du parc immobilier reste cohérente avec les ambitions environnementales, tout en restant compréhensible et équitable pour l’ensemble des usagers.